Épisode #1 – Première graine: la croissance
Publié le: 12 février 2021
- Épisode #1 – Première graine: la croissance Lamia Rarrbo 19:51
Retranscription de l’épisode:
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans »Cultive Ton Potentiel » le podcast qui vulgarise les concepts de croissance individuelle et collective selon une approche apprenante.
Je me présente, je m’appelle Lamia Rarrbo et aujourd’hui dans ce tout premier épisode, je vais me présenter, présenter le pourquoi qui m’a poussé à créer ce podcast et aussi te présenter ce que tu vas découvrir dans les prochains épisodes.
Rapidement, je te parle de mon parcours: j’habite au Québec, je suis maman et ingénieure de formation. J’ai toujours aimé les mathématiques! Oui oui …j’adorais les exercices de logique à l’école! et je voulais exercer un métier qui me permettrait de les utiliser au sein des organisations. Je suis alors tombée en amour avec la recherche opérationnelle et la dynamiques des systèmes »Systems Dynamics ». Puis, j’ai commencé à travailler comme consultante en performance organisationnelle ou je déploie les principes d’amélioration continue depuis plus de 10 ans. D’ailleurs, si ça t’intéresse, je te mets les références pour connaitre ces concepts. Aussi, je t’offre la retranscription écrite de l’épisode sur mon site CultiveTonPotentiel.com donc si un mot n’est pas clair, tu pourras le retrouver facilement.
Alors d’où vient l’idée du podcast?
En fait, le principal constat que j’ai réalisée ces dernières années, c’est que tout au long de mes mandats, je dis principalement à mes clients que 80% des changements à faire sont des changements humains et que c’est seulement 20 % qui relèvent du processus ou des outils à mettre en place. Et, je reçois régulièrement des rétroactions de personnes , qu’elles soient cadres ou employés avec qui j’ai des discussions sur des sujets variés et je me suis bien rendu compte avec le temps que les thématiques sont toujours autour de l’humain, de la croissance ou de la performance.
Et puisque le potentiel humain est au cœur des grands bouleversements et des changements qu’ils soient individuels ou collectifs, donc cultiver son potentiel serait davantage un processus organique que linaire. Parce que on est des êtres humains, des êtres organiques.
Et La principale raison qui m’a poussée à créer ce podcast est que je crois vraiment que si on souhaite prendre le contrôle de notre vie et atteindre l’impossible ; donc, si on souhaite Prendre Consciemment En charge Notre Vie: c’est par Développer nos habilités à compter sur nous-même en cultivant notre propre potentiel.
Alors, débloquer, démystifier certaines croyances et vulgariser les concepts de croissance pour grandir seront les principaux sujets dont je vais parler dans ce podcast avec une légère touche technique 😉
Car au final, mon intention est de semer des graines afin d’éveiller les consciences d’où le titre de ce premier épisode qui fait référence à la première graine.
Et Pourquoi le format podcast? D’abord, parce que, j’adore en écouter, je suis une grande consommatrice de ce type de contenu. Et puisque la transmission de connaissance est très importante pour moi, je pense alors qu’elle devrait être accessible à tous.
Bon, maintenant que la présentation est faite, je souhaite revenir sur le sujet de ce premier épisode qui est la croissance et avant de te présenter ma propre définition du sujet, je tiens à signaliser que tout ce que je présenterai dans ce podcast représente ma propre perspective, c’est-à-dire, ce que moi je peux voir comme une vérité ou une réalité qui m’est propre, car ça vient en fait de mon propre modèle mental.
Je suis une personne très cartésienne et je me suis bien rendu compte ces dernières années que plus j’apprenais des choses sur moi, sur les autres et sur les interactions avec les autres, plus c’était extrêmement instructif de découvrir les différentes visons qui peut y avoir du monde . En fait avec le temps, à force de lire, de m’informer et de m’entourer avec des personnes inspirantes, j’ai fini par avoir une compréhension qui est la mienne et qui vaut ce qu’elle vaut. Transmettre cette vision qui est par ailleurs empruntée à pleins d’autres trucs que j’ai lu, que j’ai expérimenté et que j’ai discuté avec des pairs. Ce n’est pas des choses que j’ai inventées ou des réalisations que j’ai faite toute seule. Je mettrais d’ailleurs mes références à la fin de chaque épisode évidemment!
Bref, J’ai envie de partager tout ça avec toi
Alors, Qu’est-ce qu’une croissance qu’elle soit personnelle ou collective?
En fait, c’est la capacité d’un être humain ou d’une organisation de souhaiter, de vouloir et de faire en sorte de s’améliorer, de sortir de sa zone de confort et d’atteindre un objectif prédéfini.
On fait tous un tas de choses qui sont les choses normales, les choses qu’on a apprises, les choses pour lesquelles on a été conditionnés socialement, toutes les choses qui sont attendues de nous et qui sont devenus un peu comme un automatisme. Pour moi, grandir, c’est commencer par observer ces choses et les questionner. Comment? En apprenant à se connaitre, on apprend en se posant les bonnes questions à savoir quelles sont les réelles choses qui sont importantes pour nous, quelles sont nos valeurs, nos vraies aspirations et on apprend à les mettre en œuvre. Et je pense que c’est tout à fait légitime d’avoir envie de se sentir bien, d’avoir envie d’être en accord avec soi et avec ses propres valeurs .
Et l’outil le plus puissant dont on dispose si on souhaite grandir est bien c’est notre cerveau: je vois notre corps comme une maison, une maison intelligente; ou la pièce maitresse/ la pièce principale est notre cerveau. Les décorations ou les rangements seraient donc l’ensemble de nos pensées.
Donc, on peut avoir des pensées qu’on a adore comme cette vielle chaise vintage qui nous fait rappeler des bons souvenirs, donc ce sont des pensées réconfortantes auxquelles on s’identifie et qu’on assume d’avoir car elles sont alignés à nos valeurs et d’un autre côté, on a peut être ce vieux vase, on sait qu’il est là, il faut parti du décor, on ne sait même plus comment on l’a eu, mais il est juste là et ils nous énerve car franchement il est moche et qu’au fond de nous, on aimerait qu’un de ces jours, un des enfants le casse. Aussi, cette pièce peut être très bien rangée et impeccable avec des rangements bien organisés, chaque chose est à sa place ou à l’inverse, on a des -ce que j’appelle- des scary placards- c’est-à-dire des placards qui font peur, on n’a aucune idée de ce qu’on peut y trouver à l’intérieur.
- Je pense que la majorité des décorations que chacun de nous a, et bien on ne les a pas choisis! Ces décorations, donc nos pensées, On ne les a pas choisit Consciemment! Ça veut dire quoi? Ça veut dire que tout ce qu’on a apprit depuis notre naissance vient d’un apprentissage que j’appelle mimique. Ça veut dire qu’on a appris les choses en mimant nos parents, en mimant nos enseignants et en mimant notre entourage. Donc a un crée tout un monde forgé par ces pensées. Attention, il y’a des pensées que la société, ou la religion ou que notre propre famille nous a légué et qu’elles sont très bien et nous sert: par exemple: voler/ mentir/ tricher c’est mal, ou connaitre les bonnes règles de courtoisie, etc. Ici, je te parle en fait des pensées qui font parti de notre inconscient collectif ou des pensées identitaires qui nous conviennent pas ou qui nous servent plus. Comme par exemple: le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée…merci Esther! Ou Une pensée identitaire serait: je suis trop bohème donc Je ne suis pas organisée/ ou bien, je suis perfectionniste tout doit être parfait et sous control/ suis extravertie/suis introvertie/…
Je vais te dire quelque chose qui va revenir souvent dans ce podcast: Ce n’est pas parce que je pense quelque chose que forcement ça doit être vrai!
On veut casser des mythes ici!
L’idée maintenant est de faire le ménage de ces pensées comme le ménage de sa maison: trier les pensées ne veut pas dire tout accepter ou tout rejeter. Des fois, on n’a même pas accès à l’ensemble de nos pensées. D’après des experts, on a 60 000 pensées par jour. Faire le ménage, c’est aussi accéder à ces pensées du subcontinent qu’on a oubliés et qu’on ne s’autorise pas à avoir; un peu comme s’autoriser à refaire la déco de sa maison et recycler le fameux vieux vase.
Donc Prendre conscience de soi: c’est la capacité de réaliser ce que nous faisons Quand nous le faisons et de comprendre Pourquoi nous le faisons.
Maintenant, pourquoi la croissance est importante:
Pourquoi se donner la peine d’essayer de développer une entreprise ou d’acquérir de nouvelles compétences , d’améliorer un comportement comme par exemple être moins en colère ou être davantage dans l’écoute? Pourquoi faire l’une de ces choses?
Je pense que c’est une question importante et que peut-être la plupart d’entre nous ne se la posent pas.
Avant d’y répondre, je vais ouvrir une grosse parenthèse, car je tiens tout de suite à clarifier quelque chose qui est important pour moi: Ceci n’est pas une quête, je le répète: Ceci n’est pas une quête; et si on le fait, on ne va pas recevoir de médaille. Aussi Ici, je ne parle de pas de jugement, du fait se comparer, et de dire que quelqu’un qui se pose ce genre de questions vaut plus que les autres. . Tu vas trouver ça utopique mais je pense sincèrement que chaque personne vaut ce qu’elle vaut, personne n’est meilleure que l’autre, la valeur n’est ni octroyée par la richesse ou les biens matériels, ni par même par les diplômes. On est 7 milliards sur cette planète et je pense que chaque personne est unique.
Dans mon cas, je sais juste que c’est comme ça que Je Choisis de vivre ma vie, c’est à dire en me questionnant et en souhaitant contribuer à ma manière . Tu vas me dire Pourquoi?
En fait, je te retournerai la question: Qu’est-ce que c’est grandir? Et qu’est-ce que cela signifie de grandir pour nous tous?
Je parle du concept même d’évolution et de croissance intérieur et qui nous fait évoluer de manière cognitive et émotionnelle. Je pense qu’il est important de grandir et d’apprendre continuellement, car plus nous apprenons, plus nous créons dans le monde et plus nous arrivons à réaliser nos propres désirs et nos aspirations.
Quand je regarde les gens qui se dépassent pour apporter une quelconque contribution, je vois comment ce n’est pas seulement une évolution individuelle. Cela nous fait évoluer en tant qu’espèce, et je pense que c’est peut-être le but de tout cela. Quand je vois tant de gens affronter tant de difficultés, afin de réaliser leurs rêves dans le monde . Je vois comment j’en ai profité de leurs réalisations et que c’est peut-être le cas pour toi aussi! …si quelqu’un n’avait pas pensé démocratiser internet, on ne serait pas là aujourd’hui et peut-être que tu m’écoutes là en ce moment à l’autre bout de la planète.
Maintenant, comment grandir ?
Selon moi, plusieurs moyens existent et j’aimerai t’en présenter deux sortes:
- Soit le premier: ou on est en en mode challenge/défi court terme: ça veut dire réaliser quelque chose qui est difficile mais qui peut être fait en un laps de temps défini. Par exemple, si je te dis là maintenant, on arrête les produits transformés pour 2 ou 3 semaines donc on ne mange pas tout ce qui sort d’une usine, oui oui même le pain de blé entier, on mange les fruits, les légumes, les protéines animales et végétales, vraiment tout ce qui est à l’état naturel. Là, c’est sur que je ne suis pas en train d’instaurer une habitude parce que ce n’est pas quelque chose que j’ai envie d’ancrer sur le long terme, mais j’ai envie d’accomplir quelque chose de difficile en un temps donné. Aussi, cela peut être une action que l’on fait ou à l’inverse, qu’on arrête de faire : on peut aussi faire le défi d’arrêter les écrans pour 1 semaine. Le principal frein à relever un défi, c’est d’imaginer qu’on va le faire pour le reste de notre vie. Et la raison pour laquelle c’est un échec, c’est qu’au moment où on commence ou dans certains cas, avant même de commencer, on a la certitude que cela n’est pas possible pour nous, cela nous parait compliqué et c’est pour cette raison que justement c’est un défi. Réussir un défi signifie qu’intellectuellement, qu’émotionnellement et qu’au moment où on se lance, on adopte l’état d’esprit de quelqu’un qui a l’habitude de faire cette action. Le but d’un défi, c’est rendre possible quelque chose qui nous semblait impossible.
- Le deuxième mode est la culture long terme: c’est-à-dire , vouloir agrandir sa zone de confort graduellement et de rendre des choses possibles pour qu’elles deviennent une habitude en changeant nos comportements sur le long terme. Et si tu veux faire quelque chose dans ta vie, il suffit que tu le fasses quotidiennement. Le secret se trouve dans ta routine. Au moment de prendre des résolutions, beaucoup tombent dans le piège de mettre des objectifs trop large. Ils veulent manger mieux, lire plus, faire du sport ou perdre quelques kilos. L’intention est bonne, mais le problème de ces objectifs est qu’ils mettent l’accent sur le résultat final et non pas sur tout ce qu’il faut mettre en place pour y parvenir. Ce qu’il suffit faire, c’est de transformer l’objectif en une petite habitude quotidienne. Si tu veux lire plus, commencer par lire au moins quelques phrases par jour. En moyenne, ça prends environ 200 mn pour lire un livre, Si tu lisais 15 min par jour, le résultat est que tu vas lire 2 livres par mois—soit 24 livres par an…on s’entend que c’est une moyenne mais on comprends le principe! L’idée est de se concentrer sur les petits pas pour ancrer une nouvelle habitude avant de chercher à l’optimiser. Et l’état d’esprit que je te propose d’avoir, c’est d’ancrer de nouvelles pensées qui te permettront d’associer ces pensées à une nouvelle identité. Par exemple, au moment où une personne veut perdre du poids, au moment où elle se dit qu’elle va se lancer. Elle commence à faire du sport! Pourtant, tout le monde sait que pour perdre du poids, c’est 90% grâce à l’alimentation alors pourquoi beaucoup de personnes commencent à faire du sport? C’est en fait leur nouvelle identité de sportif qu’elles souhaitent avoir et la maintenir dans le temps sera un autre sujet de podcast 🙂
C’est vrai que dans certains cas, des personnes se lancent des défis court terme dans le but de créer une nouvelle habitude et faire en sorte de la garder après. Cela peut arriver que ça marche, et dans ce cas, cela signifie que ce n’était pas quelque chose de réellement impossible pour elles, c’était quelque chose pour laquelle elles touchaient presque au but, donc ce n’était pas complètement en dehors de leurs zone de confort.
Et finalement, que ce soit pour faire un défi court terme ou apprendre un comportement sur le long terme, les questions qu’il faut se poser: c’est pourquoi je veux le faire? qu’est-ce qui est le plus dur? Qu’est-ce qui rend cela si difficile? Qu’est-ce que je ressens quand j’envisages de le faire?
Et je pense que le secret est de le faire dans l’amour de soi. C’est à dire Sans faire de l’auto-complaisance et ça veut dire quoi, l’auto-complaisance, c’est se placer en position de victime, un peu comme ta maison intelligente/ on va dire que notre conscience serait comme un assistant virtuel/ Une Alexa ou un Siri, ton Alexa qui te parlerait et te dirait : »c’est pas grave, laisse faire, ne fais pas cette vaisselle sale qui traine depuis 3 jours, tu as une grosse journée quand même, etc !. Ou à l’inverse, il ne faut pas être dans d’auto-sabotage, ça veut dire quoi, l’auto-sabotage, c’est se placer en position de bourreau donc Alexa te dirait: »je veux que fasse le ménage 5 h par jour, tu manges au-dessus de l’évier pour ne pas faire de miette et tu as intérêt à passer l’aspirateur juste après!!
Personne ne veut ce genre d’assistant virtuel!
Tu vois un peu, comment ton discours interne, donc la façon dont on se parle peut changer les émotions qu’on ressent! Et comment ça peut changer notre vision du monde! Et selon moi, décider de changer son discours interne afin de lui trouver le bon rythme: c’est l’une des premières étapes de la croissance!
Maintenant, je veux que tu te demande: «Pourquoi devrais-je grandir? Pourquoi devrais-je passer à l’étape suivante et poursuivre un objectif que je ne connais peut-être même pas? Pourquoi devrais-je même prendre la peine d’essayer de m’épanouir, de réaliser mon potentiel ou d’apprendre quelque chose de nouveau? Pourquoi devrais-je même écouter ce contenu?
D’ailleurs, l’objectif de ce podcast est de justement partager avec toi les moyens pour y parvenir.
Si tu connais Abraham Maslow, il parle de notre hiérarchie des besoins. Je pense qu’au début de notre évolution, nous avons été poussés à répondre à nos besoins physiologiques et à nos besoins de sécurité. Il nous explique que les différents besoins humains peuvent s’organiser selon une pyramide. On remplit nos besoins dans l’ordre de la pyramide en premier, donc les deux premiers paliers, on a le besoin de nourriture, d’eau, de chaleur, de repos et les besoins de sécurité qu’elle soit matérielle ou émotionnelle. Ensuite, nous avons été motivés à aimer et à appartenir à des communautés. Ensuite, une fois que tous ces besoins ont été satisfaits, nous commençons à ressentir ce que Maslow appelle les besoins de réalisation de soi. Parce que grandir nous pousse à être disciplinés, nous pousse à surmonter les échecs. Cela nous pousse à devenir plus forts. Cela nous pousse à construire plus de voies neuronales dans notre cerveau et on devient conscients. On devient conscient de nos besoins, de nos valeurs et de nos aspirations.
Et puisque le besoin d’épanouissement se manifeste en dernier, alors que si l’on fait le choix conscient de remplir ce besoin en premier, c’est à dire d’avoir une vie en accord avec nos valeurs, , si nous-même on se donne un amour inconditionnel, alors nous sommes complètement alignés avec tout ce que l’on fait.
Avant de clôturer ce premier épisode, je voulais aussi te dire que je vais essayer dans ce podcast de prendre une posture qui s’approche le plus possible d’une posture de coach, c’est à dire que je vais essayer d’être le moins possible teintée de mes croyances et de mes biais. Qu’est-ce que c’est une posture de coach? c’est une personne bienveillante qui ne porte pas de jugement qui est neutre et qui est là pour aider toute personne qui manifeste le souhait de se poser les bonnes questions, des questions qui vont lui permettre de comprendre ses réelles aspirations et qui va aussi l’aider à établir ses propres objectifs, à les mettre en place et à les réaliser. La posture de coach est une posture qui me plait davantage .
Dans certains cas, je vais peut être donner l’impression que je me place en « mode expert» par rapport à des personnes qui ne connaissent pas certains concepts. Mais vraiment, mon intention première est que je souhaite te parler d’égal à égal.
Bref, je vais te présenter les choses simplement et d’une façon dont je le comprends. Je suis certaine que ce podcast va me permettre d’apprendre énormément grâce aux échanges qu’on aura en tant que communauté et qu’on va tous s’en retrouver grandit.
Je vais m’arrêter là pour ce lancement et te remercie de m’avoir écoutée. Je te donne rendez-vous dans deux semaines puisque j’ai décidé que les podcasts sortiraient les vendredis aux deux semaines.
Je t’invite à t’abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes, tu peux le faire sur l’application de ton choix. Je te fais quelques suggestions d’applications si tu n’es pas familier avec le format et je te retrouve dans la section commentaire ou sur les réseaux sociaux.
Et n’hésites pas à écrie dans la section commentaire, dis-moi ce que tu as pensé de ce premier épisode.
Sur ce, je te laisse cultiver les graines. Prends soin de toi, je t’embrasse, passe une excellente fin de semaine et je te dis à bientôt!
Application / Exercice pratique:
Je te propose une série de questions à explorer :
Mon pourquoi/ Mon besoin
- Pourquoi devrais-je prendre la peine d’essayer de m’épanouir, de réaliser mon potentiel ou d’apprendre quelque chose de nouveau? Pourquoi je veux le faire?
- Quel est mon réel besoin? Quelles sont mes réelles aspirations? Suis-je conscient (e) de mes valeurs?
Mon quoi/ Mon comment
- Qu’est-ce que c’est grandir? Et qu’est-ce que cela signifie de grandir pour moi? Comment grandir selon moi?
- Est-ce que j’aime faire des défis? Si oui, lesquels? Décrire le dernier que j’ai fait… Qu’ai-je ressentis quand je l’ai fait? Quels sont les principaux apprentissages que j’en tire?
- Et que je souhaite faire pour répondre à mon réel besoin? Qu’est-ce qui est le plus dur? Qu’est-ce qui rend cela si difficile? Qu’est-ce que je ressens quand j’envisage de le faire?
Je te laisse cultiver les graines 😉
Références:
- Qu’est-ce que la recherche opérationnelle:
https://diro.umontreal.ca/
https://fr.wikipedia.org/wiki/
- Qu’est-ce qu’une performance organisationnelle:
https://fr.wikipedia.org/wiki/
- Qu’est-ce que la dynamiques des systèmes/ system dynamics:
https://systemdynamics.org/
- Qu’est-ce que le Lean management (Lean Six Sigma):
https://www.wmep.org/blog/5-
https://www.reliableplant.com/
https://www.piloter.org/six-
- Le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée:
Se libérer des constructions sociales et croyances limitantes.
https://sesentirbien.coach/podcast/1/
- 60 000 pensée par jour:
https://tlexinstitute.com/how-
https://neurocritic.blogspot.
- Moyenne pour lire un livre:
https://www.readinglength.com/
- Pyramide de Maslow:
Bravo Lamia, super, tu as une voie apaisante et radiophonique! Tu as beaucoup de contenu intéressant!
Merci beaucoup Pierre!
Bravo Lamia, très enrichissant et intéressant comme contenu. J’ai déjà hâte au prochain.
Merci Jean-François! 🙂
Excellent Lamia, j’ai adoré ton podcast: rafraîchissant et pleins de sens. Les métaphores utilisées sont pertinentes. Par rapport aux besoins de l’être humain, il y a aussi la théorie de l’autodétermination de Deci & Ryan. J’attends avec impatience la suite
Merci Yasmine 🙂 Pour les besoins humains, il est vrai que le sujet mérite tout un épisode tellement le concept est vaste! Je viens de mettre en ligne le deuxième épisode, en espérant que ça te plaira 😉
Bravo très professionnel
Merci Gaétan 🙂
Un travail vraiment magnifique et bénéfique. Merci Lamia
Merci beaucoup Amina 🙂